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Qui est l’angevine Morgane de « Qui sera le prochain grand pâtissier. » sur France 2 ? [VIDEO]

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Aurelien Trottier et Morgane devant l'enseigne angevine Artisan Passionné

Aurelien Trottier et Morgane devant l’enseigne angevine Artisan Passionné

Exclusif. Elle apparaîtra dès le 30 juin prochain dans la troisième saison de l’émission de France 2, « Qui sera le prochain grand pâtissier. », l’angevine Morgane est l’une des 8 candidates qui participera à l’émission. Rencontre.

« Qui sera le prochain grand pâtissier. » c’est quoi?

« Huit candidats concourent afin de devenir le prochain grand pâtissier de l’année. Ils sont préparés, soutenus, entraînés par les stars de la pâtisserie. Les chefs reçoivent dans leur pâtisserie, à Paris et en régions, les candidats afin de leur faire partager leur savoir-faire. Tout au long des émissions, les candidats confrontent leurs connaissances, leurs techniques et leur créativité au cours d’épreuves qui mèneront le plus doué vers la victoire. Aujourd’hui, la pâtisserie a son concours télévisuel. Pour la troisième année, nous allons partir à la recherche du futur grand nom de la discipline. » précise la production.

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Quatre émissions croustillantes de 130 minutes diffusées chaque semaine en prime time, présentées par Virginie Guilhaume, accompagnée d’un jury d’exception composé de : l’angevin Christophe Michalak, Christophe Adam, Philippe Urraca et Pierre Marcolini.

Rencontre avec Morgane, 27 ans, la candidate angevine de l’épreuve.

Comment t’es venue l’idée de participer à cette émission ?

Il y a 3 ans, la production m’avait contacté pour participer à l’épreuve et je n’avais pas donné suite. Cette année mon patron m’a incité à participer à l’épreuve, j’ai passé avec succès les différentes épreuves avant de finir dans la sélection finale des 8 candidats qui participeront à l’émission. Pour moi cette émission est une expérience nouvelle et un monde inconnu, on est suivi par des journalistes, des fils qui traînent partout, du matériel que l’on ne connait pas où que l’on a pas l’habitude d’utiliser.Enfin et surtout le stress de bien faire les choses, comment ça va se passer. Nous sommes limités dans le temps, les heures passent très rapidement. C’était très stressant mais ce fut une expérience très enrichissante.

Quelle est est ton parcours ?

Nantaise d’origine, après un bac économique et sociale, je me suis réorientée, j’ai travaillé une année en boulangerie-pâtisserie. Grâce à mon bac, j’ai pu faire mon BEP en une seule année. Après je suis entrée dans un Relais dessert à Nantes où je suis resté 6 ans, j’y ai effectué ma mention complémentaire, mon BTM, mon CAP chocolatier et j’y suis restée ensuite comme ouvrière.Ensuite, j’ai eu l’opportunité de changer de ville et de trouver un nouveau patron sur Angers, chez Aurelien Trottier, d’Artisan Passionné et j’ai pu passer mon Brevet de maîtrise à Angers.

Comment t’es venue ce goût pour la chocolaterie et la pâtisserie ?

J’ai toujours aimé le sucré et j’ai découvert ce métier au travers d’un stage. Les années passant après mon Bac en poche, je me suis rendue compte que les études universitaires n’étaient pas pour moi. C’est le stage en troisième chez un meilleur ouvrier de France qui m’avait beaucoup plu. Je me suis donnée une année de réflexion pour découvrir ce métier . C’est la découverte du métier, l’ambiance dans les laboratoires, la production. Je suis assez gourmande donc je me sentais bien et je suis tombée sur les bonnes personnes au bon moment qui m’ont donné envie et qui m’ont poussé à faire ce métier. Se lever tôt le matin ou faire des heures à Noêl pour moi ce nétait pas un problème.Le plaisir d’aller travailler passait avant les sorties avec les copains.

Quelle genre de choses aimes- tu faire en pâtisserie?

J’aime bien créér des choses, j’aime bien la pâtisserie fine, pour moi c’est vraiment quelque chose de visuel et du goût, on passe une étape supérieure, on va chercher des saveurs plus originales, c’est un mélange de textures. Quand on déguste un gâteau,c’est un plaisir et dans la patisserie fine il y a pas mal de visuel , c’est plus un art qu’une simple tarte ou un simple gâteau en fait !

Dans ce monde d’homme, en Pâtisserie-chocolaterie, c’est difficile de se faire une place ?

J’ai eu aucun problème pour bien m’entendre avec mes collègues Hommes.J’ai un caractère bien trempé et un peu garçon manqué. Dans ce métier, il faut avoir du répondant et il ne faut pas se laisser faire. Après chacun a sa personnalité.

En interrogeant son patron actuel, Aurélien Trottier d’Artisan Passionné « avec quelques années en arrière, j’aurais fait cette émission, c’est valorisant, cela permet de se mettre en danger.C’est aussi le but de cette émission, savoir où l’on va, où sont nos limites.Après cela reste une émission de télévision , un jeu, on n’est pas dans de la télé-réalité mais quasiment. Ce qu’on va voir d’elle à la télé, ce ne sera pas représentatif du travail qu’elle fournit au quotidien, la notion de stress et de concours en moins. »

Une candidate avec du caractère comme elle le confie et « qui apporte de la valeur ajoutée à son travail avec une touche de féminité et de précision « admet son chef Aurélien.

Pour suivre les aventures de Morgane, Rendez-vous dès le 30 juin à partir de 20h50 sur France 2.


Les premières images de la 3ème saison de #GrandPatissier

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