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Six suspects de l’extrême droite tenus pour complot contre Macron

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(Crédit TB). Emmanuel Macron lors de son meeting à Angers, le 28 février 2017.

Six personnes liées à des mouvements d’extrême droite français ont été interpellées mardi dernier, soupçonnées de préparer un complot « violent » contre le président Emmanuel Macron, a indiqué à l’AFP. L’heure est en alerte, la situation actuelle en France n’est pas évidente et la goutte d’eau qui vient déborder le vase est justement ce complot contre le nouveau président français. S’il est vrai que cette organisation adverse a bien organisé son coup, comme on peut très souvent voir sur les casinos depuis votre smartphone de betFIRST Casino, tout a été mis en œuvre pour que de tels actes n’aient plus jamais lieu.

Les cinq hommes et une femme, âgés de 22 à 62 ans, ont été saisis par l’agence de renseignement nationale française DGSI, mais cette agence n’a malheureusement pas révélé les identités de ces 6 personnes à l’origine d’une tentative de complot contre le président Emmanuel Macron.

Quatre suspects ont été interpellés dans la ville de Moselle, au nord-est du pays, à un peu plus d’une heure de route de Verdun, où Macron se rendait mardi dans le cadre des commémorations d’une semaine du centenaire de la Première Guerre mondiale. Un autre a été arrêté dans le sud-est de la France et un sixième à l’ouest.

Une enquête ouverte par le parquet de Paris, chargée des enquêtes sur le terrorisme dans tout le pays, porte sur « un projet vague et mal défini à ce stade », a déclaré l’une des sources du président Emmanuel Macron.

Lundi dernier, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, avait averti que la France restait « en alerte » face aux menaces posées par « des réseaux extrémistes de droite et de gauche, très actifs dans notre pays ». Ce n’était pas la première tentative connue contre Macron. En juillet 2017, un homme de 23 ans a été inculpé de complot en vue d’assassiner le président lors du défilé militaire organisé pour le Bastille Day en France. L’homme a déclaré aux enquêteurs qu’il voulait tuer Macron avec « des musulmans, des juifs, des noirs et des homosexuels », et trois couteaux de cuisine ont été retrouvés dans sa voiture.

Plusieurs autres membres présumés de l’extrême droite ont été arrêtés depuis 2017, l’année de l’élection de Macron à la présidence, après que la police eut découvert qu’ils préparaient peut-être des attaques imminentes.

Cet été, 13 personnes ayant des liens avec le groupe radical « Action des forces opérationnelles » ont été arrêtées par la police antiterroriste pour un présumé complot visant à attaquer des musulmans. De plus, 10 personnes ont également été arrêtées en octobre 2017 pour suspicion de vouloir prendre pour cibles des musulmans ainsi que des hommes politiques tels que le chef de file d’extrême gauche Jean-Luc Melenchon et Castaner.

Dans un rapport déposé par la DGSI dans le cadre de cette enquête, il indiquait que l’extrême droite en France consistait en plusieurs groupes disparates et concurrents dotés d’une capacité opérationnelle « limitée ».

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